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Affichage des articles du octobre, 2010

Une semaine intensive

Dans notre cahier de stage, il y a un beau calendrier sur lequel il est écrit: 25 octobre au 29 octobre- semaine de stage intensive. Haha, intensive ! Ils veulent juste dire qu'on va devoir aller à l'école secondaire 5 jours de suite. "Intensive", c'est un peu fort. Euhhhh, finalement, je retire mes vieilles paroles, le choix de mot est PARFAIT. Tous les jours de la semaine passée, j'ai donné au moins un cours complet de 70min. Pour ces cours, je devais me préparer en faisant les exercices de mathématiques que j'allais donner en devoir et en créant des PowerPoints que je retravaillais sans cesse jusqu'à ce que la cloche sonne. J'ai fait des bons coups comme des mauvais coups. Mon enseignant associé a pris au moins 3 feuilles recto verso de notes à chaque fois que je donnais un cours. Mes bons coups: connaître tous les noms des élèves dès le premier cours, les PowerPoints, prendre sur le fait un élève qui triche à son examen, réussir à obtenir l'

Semaine... de lecture ? de relâche ? de stage !

Eh oui ! Cette semaine, la majorité des étudiants universtaires pourront se reposer d'être passivement asssis sur un banc d'école. Plusieurs en profiteront pour bouger à l'extérieur, visiter leur famille et leurs vieux amis et sortir danser. Je suis certaine qu'ils prendront tous le temps d'étudier un peu. Or, ceux qui étudient en éducation auront aussi la chance d'être enfin actifs, mais toujours à l'intérieur d'une institution d'enseignement. Cette semaine, on enseigne ! JOIE ! Voyez-vous le saracasme ? Non... Pourquoi est-ce qu'à l'université Laval, ils ont eu la mauvaise idée de m'imposer un stage durant la semaine de lecture/relâche alors que comme tous les autres, j'aimerais retourné à la maison et rattrapé mon retard dans mes six autres cours voire même tenter de prendre un peu d'avance dans les travaux à remettre ? Arggg, maudit, je ne changerai quand même jamais d'université. Je suis trop bien à Québec. Alors, en ce b

Un mal de dos

Ça s'est produit au cross country des plaines. Vous savez, celui qui avait quand même bien été... jusqu'à ce que j'en ressente les séquelles le mardi suivant. Pendant le cross, en descendant la côte que j'aime le moins des plaines, je n'ai tellement jamais voulu qu'on me dépasse que j'ai fait ce que les coachs disent de faire : je me suis laissée aller. Un peu trop. Ce que le coach ne dit pas, c'est qu'il faut que les abdos gardent le contrôle. Alors, j'ai senti un pincement dans le dos. Désagréable, mais sur l'adrénaline, c'est momentané. Après la course, j'avais mal dans le dos comme si je venais de jouer une heure au badminton avec Guillaume Les Gourdes (mon coloc). Le lendemain, c'était comme si j'étais raquée dans le dos. Le lundi soir, l'entrainement n'était pas facile, mais avec les 6km de réchauffement pour se rendre sur les plaines, le dos a pris son mal en patience même si on devait encore descendre la fameus

Cross-country des plaines

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Pour un premier cross-country en 5 ans, je pense que je peux dire que la mission a été accomplie. Les résultats officiels ne sont pas encore sortis, mais je présume m'être classée 5e parmi le Rouge et Or. Soleil, petit vent, environ 10°C; bref, tout le monde hésite à mettre du linge chaud. Finalement, après 10min d'échauffement, j'avais déjà enlevé ma tuque, mes gants, mon cache-coup et j'aurais enlevé mon manteau si je n'avais pas eu à la trainer dans mes mains. Conclusion: tout le monde en short et en camisole. Bon, je n'avais pas les vêtements du club parce que je ne savais pas que je pouvais les avoir alors j'ai courru comme une no name . En réalité, vous le savez, c'est parce que je n'aime pas faire comme les autres :P Départ à 12h50 devant une belle foule québécoise, mais en compagnie non seulement de sherbrookois et de coureuses de Mcgill, mais aussi d'albertaines (qui sont très fortes en passant). Au son du fusil, je fais un départ canon

Retour sur le gala triathlon Rouge et Or

Samedi soir le 2 octobre, Eugénie, Francis et Caroline vous présentaient le gala de fin de saison Rouge et Or triathlon au Boudoir de l'université Laval. Une réussite honnête, à mon avis. Les points forts : - Diapos et textes de Francis pour les nominations et gagnants des différents prix - La nourriture était bonne, particulièrement le dessert :) - Le jeu de la ficelle malgré un rouleau de soie dentaire trop court et l'équipe des gagnants composés entièrement de gars, ce qui les a avantagé. - La musique à partir du moment où j'ai dit à Ève que j'espérais qu'elle n'avait pas perdu 5h de temps le matin même à organiser ses playlists pour ne pas les faire jouer. - Les beaux billets - Tout ce qui avait rapport à la salle (frigidaire, tables nappées, grandeur de la salle, projecteur, etc.) Les failed - La cuisson des brochettes et des bouchées - Le fait qu'on ne savait pas le nombre exact de personnes qui allaient être présents, ce qui aurait facilité la tâche