Du fast food de qualité
Yummmy.
Hier soir, j'avais soif de lecture. J'ai donc entrepris Oscar et la dame rose de Éric-Emmanuel Schmitt (encore lui !! Habituez-vous, vous allez l'entendre souvent). Un tout petit roman de 119 pages. Or, ce fameux tout petit roman ne m'a pas seulement rassasié, il m'a enivré. Pendant 50 minutes (parce que oui, oui, ça ne prend pas plus que 50 minutes à lire), avec le dernier cd de Pascale Picard en background, c'était un délice. Je n'avais même pas pris la peine de lire la quatrième de couverture... tant mieux !
Pour les quelques malheureux curieux qui ne commenceront jamais un livre si le peu qu'ils connaissent de l'histoire ne les intéresse pas, c'est l'histoire d'un tout jeune garçon qui vit à l'hôpital et qui réalise qu'il va bientôt mourir.
***
Aujourd'hui, durant mon heure de diner à la banque, je suis allée lire L'étranger d'Albert Camus au Van Houtte. J'y ai rencontré un vieux monsieur fort intéressant. En fait, c'était la deuxième fois que je le rencontrais. La semaine dernière, je l'avais croisé exactement au même endroit alors que je lisais Life of Pi. Il m'avait interpellé parce qu'au même moment, il lisait un article sur le fameux livre de Yann Martel dans la revue Elle Québec. Quelle coïncidence !
Enfin, il m'a appris qu'il était écrivain, qu'il a exilé Ottawa dans le temps de la révolution tranquille, puisqu'il était intrigué par les Québécois. Journaliste, écrivain, dessinateur, amateur du journal Le Devoir, politiquement engagé... pour ceux qui me connaissent bien, vous devez me croire si je vous dis que j'ai été enchantée de discuter avec lui. Il m'a donné le titre de deux de ses ouvrages... à suivre !
***
À lire : le dernier article de Clara Hugues http://www.cyberpresse.ca/sports/autres-sports/cyclisme/201105/18/01-4400536-rouge-feu-et-en-route-pour-londres.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_sports_257_accueil_POS1
C'est dans ce temps là que je réussis à me convaincre que j'ai pris la bonne décision en prenant soin de guérir ce foutu mal de dos. D'ailleurs, je reviens tout juste de l'IRM (imagerie résonance magnétique). Ce n'est pas l'immense tube dans lequel sont glissés les patients dans Grey's Anatomy. Celui-là est plus petit et il fait des bruits horribles. T'as des pétards dans les oreilles pendant un long 15 minutes. Si c'était continu et toujours le même rythme, on finirait par s'endormir, mais non ! Par intermittence. Dans les moments de silence, tu te demandes quand est-ce que le prochain va partir, puis BANG ! Tu fais le saut ! La petite madame t'a bien dit de ne jamais bouger, mais sérieux, nerveuse comme je suis, c'est impossible de ne pas réagir à des sons stridents aussi soudains.
Anyway, quelques minutes après la séance, je recevais un petit portefolio dans lequel on retrouve le cd avec les 144 images, un crayon et un énorme bloc-notes. Une fois de plus, la clinique privé m'impressionne : c'est rapide et de qualité.
***
Le Peps est fermé jusqu'à dimanche. Ça, c'est ennuyant !
Hier soir, j'avais soif de lecture. J'ai donc entrepris Oscar et la dame rose de Éric-Emmanuel Schmitt (encore lui !! Habituez-vous, vous allez l'entendre souvent). Un tout petit roman de 119 pages. Or, ce fameux tout petit roman ne m'a pas seulement rassasié, il m'a enivré. Pendant 50 minutes (parce que oui, oui, ça ne prend pas plus que 50 minutes à lire), avec le dernier cd de Pascale Picard en background, c'était un délice. Je n'avais même pas pris la peine de lire la quatrième de couverture... tant mieux !
Pour les quelques malheureux curieux qui ne commenceront jamais un livre si le peu qu'ils connaissent de l'histoire ne les intéresse pas, c'est l'histoire d'un tout jeune garçon qui vit à l'hôpital et qui réalise qu'il va bientôt mourir.
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Aujourd'hui, durant mon heure de diner à la banque, je suis allée lire L'étranger d'Albert Camus au Van Houtte. J'y ai rencontré un vieux monsieur fort intéressant. En fait, c'était la deuxième fois que je le rencontrais. La semaine dernière, je l'avais croisé exactement au même endroit alors que je lisais Life of Pi. Il m'avait interpellé parce qu'au même moment, il lisait un article sur le fameux livre de Yann Martel dans la revue Elle Québec. Quelle coïncidence !
Enfin, il m'a appris qu'il était écrivain, qu'il a exilé Ottawa dans le temps de la révolution tranquille, puisqu'il était intrigué par les Québécois. Journaliste, écrivain, dessinateur, amateur du journal Le Devoir, politiquement engagé... pour ceux qui me connaissent bien, vous devez me croire si je vous dis que j'ai été enchantée de discuter avec lui. Il m'a donné le titre de deux de ses ouvrages... à suivre !
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À lire : le dernier article de Clara Hugues http://www.cyberpresse.ca/sports/autres-sports/cyclisme/201105/18/01-4400536-rouge-feu-et-en-route-pour-londres.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_sports_257_accueil_POS1
C'est dans ce temps là que je réussis à me convaincre que j'ai pris la bonne décision en prenant soin de guérir ce foutu mal de dos. D'ailleurs, je reviens tout juste de l'IRM (imagerie résonance magnétique). Ce n'est pas l'immense tube dans lequel sont glissés les patients dans Grey's Anatomy. Celui-là est plus petit et il fait des bruits horribles. T'as des pétards dans les oreilles pendant un long 15 minutes. Si c'était continu et toujours le même rythme, on finirait par s'endormir, mais non ! Par intermittence. Dans les moments de silence, tu te demandes quand est-ce que le prochain va partir, puis BANG ! Tu fais le saut ! La petite madame t'a bien dit de ne jamais bouger, mais sérieux, nerveuse comme je suis, c'est impossible de ne pas réagir à des sons stridents aussi soudains.
Anyway, quelques minutes après la séance, je recevais un petit portefolio dans lequel on retrouve le cd avec les 144 images, un crayon et un énorme bloc-notes. Une fois de plus, la clinique privé m'impressionne : c'est rapide et de qualité.
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Le Peps est fermé jusqu'à dimanche. Ça, c'est ennuyant !
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