Bonjour Québec
Tourissssste.
C'est mon heure de diner et, comme il fait beau, je vais prendre une marche à l'extérieur (je dois me mettre en forme). Je sors de la succursale et, que vois-je, le gros pick up noir au nom de Vtele.Il est stationné devant le Maurice.
J'apprends que dans quelques heures, le resto-bar-club recevra Éric Lucas et les autres (je ne connais rien à la boxe) pour les pesées officielles des combats qui auront lieu au Colisée demain soir. Je tourne à gauche, cette fois, il y a une montagne d'objets électroniques tels des haut-parleurs, des spots de lumières, un écran géant et des gros fils noirs que je dois éviter (avec mes talons hauts ! ). On m'apprend que le Dagobert accueille les Grandes Gueules qui animeront le "Pinch of Love" ce soir. Quelques mètre plus loin, je m'arrête au Starbucks m'acheter un latte vanille. HA ! HA ! HA ! Le serveur a un de ces déguisements: les cheveux frisés blonds en touffe avec des lunettes jaunes fluo pour retenir les mèches, la chemise fleurie bien ouverte en "V" (poilu le bonhomme, arke) et, bien sûr, le pinch (naturel!). Je n'ai pas pu m'empêcher de rire de lui.
Anyways. Café en main, je me dirige vers les plaines, je passe les barrières qui ferment la Grande Allée aux automobilistes et je m'installe sur le gazon, vue sur le fleuve. "Bonjour Québec", me dis-je. Je pense à rien, j'observe/ zieute/ voyeurise le paysage, certes, mais surtout les gens qui se balladent. J'entends les anglais parlés alors que les calèches leur font découvrir ce que, moi, je découvre un peu jour après jour.
À mon retour à la banque, tout émerveillée, je raconte à mes collègues ce que j'ai vu. " Ce n'est rien", me répondent-ils, "tu vas voir quand les terrasses seront ouvertes, pis encore, la folie du festival d'été". Les yeux grand ouverts, le sourire jusqu'aux oreilles, je me promets de parler à ma boss pour lui demander de continuer à travailler au centre-ville malgré les 20min de vélo.
P.S. Mardi soir, nous roulions sur Champlain lorsqu'un orage a frappé. Les gars riaient bien des filles qui avaient peur. Pas sur qu'ils auraient autant ri s'ils avaient su qu'une femme s'est fait frapper par la foudre exactement sur Champlain: http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2010/05/20100526-174340.html
C'est mon heure de diner et, comme il fait beau, je vais prendre une marche à l'extérieur (je dois me mettre en forme). Je sors de la succursale et, que vois-je, le gros pick up noir au nom de Vtele.Il est stationné devant le Maurice.
J'apprends que dans quelques heures, le resto-bar-club recevra Éric Lucas et les autres (je ne connais rien à la boxe) pour les pesées officielles des combats qui auront lieu au Colisée demain soir. Je tourne à gauche, cette fois, il y a une montagne d'objets électroniques tels des haut-parleurs, des spots de lumières, un écran géant et des gros fils noirs que je dois éviter (avec mes talons hauts ! ). On m'apprend que le Dagobert accueille les Grandes Gueules qui animeront le "Pinch of Love" ce soir. Quelques mètre plus loin, je m'arrête au Starbucks m'acheter un latte vanille. HA ! HA ! HA ! Le serveur a un de ces déguisements: les cheveux frisés blonds en touffe avec des lunettes jaunes fluo pour retenir les mèches, la chemise fleurie bien ouverte en "V" (poilu le bonhomme, arke) et, bien sûr, le pinch (naturel!). Je n'ai pas pu m'empêcher de rire de lui.
Anyways. Café en main, je me dirige vers les plaines, je passe les barrières qui ferment la Grande Allée aux automobilistes et je m'installe sur le gazon, vue sur le fleuve. "Bonjour Québec", me dis-je. Je pense à rien, j'observe/ zieute/ voyeurise le paysage, certes, mais surtout les gens qui se balladent. J'entends les anglais parlés alors que les calèches leur font découvrir ce que, moi, je découvre un peu jour après jour.
À mon retour à la banque, tout émerveillée, je raconte à mes collègues ce que j'ai vu. " Ce n'est rien", me répondent-ils, "tu vas voir quand les terrasses seront ouvertes, pis encore, la folie du festival d'été". Les yeux grand ouverts, le sourire jusqu'aux oreilles, je me promets de parler à ma boss pour lui demander de continuer à travailler au centre-ville malgré les 20min de vélo.
P.S. Mardi soir, nous roulions sur Champlain lorsqu'un orage a frappé. Les gars riaient bien des filles qui avaient peur. Pas sur qu'ils auraient autant ri s'ils avaient su qu'une femme s'est fait frapper par la foudre exactement sur Champlain: http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2010/05/20100526-174340.html
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