Alice in Wonderland


Pour ceux et celles qui ne le savaient pas, je suis une fan incontestée de Tim Burton ET de Johnny Depp. Par conséquent, lorsqu'ils font des films ensemble, je m'installe devant l'écran, les yeux grands ouverts comme un enfant devant un suçon gigantesque et déjà convaincue que je vais passer un moment FANTASTIQUE.

Parce que pour aimer leurs films, il faut aimer le fantastique. On se souvient de Edward Scissorhands, de Charlie and the Chocolate Factory, de Sweeney Todd et j'en passe. Alors, Alice, c'est du même style extravaguant, irréaliste, particulier, FANTASTIQUE, qui est propre au grand producteur américain. Vous aurez compris que l'histoire est basée sur l'histoire de Walt Disney. Seulement, Alice est plus vieille et, comme nous, se remémore, mais surtout, revit un merveilleux rêve. Personnellement, je ne me souvenais plus du récit en tant que tel, mais je me souvenais de certains personnages. Je me souvenais du fameux lapin avec sa montre qui tic-tac tout le temps. Je me souvenais de cette petite porte à travers de laquelle devait passer Alice, mais elle était initialement trop grande. Je me souvenais de ce chat appeurant au grand sourire sournois. Puis, je me souvenais des méchants soldats en forme de carte de coeur, lesquels ont été modernisés dans cette nouvelle version.

Enfin, encore une fois, Tim Burton a jonglé avec l'humour et la noirceur dans un compte de fée. Ce n'est définitivement pas son meilleur film, peut-être à cause de l'histoire beaucoup trop popularisée par les producteurs de Walt Disney à qui on ne veut rien enlever. Johnny Depp, toujours aussi crédible. Un peu décevant, il n'est pas aussi unique que d'habitude. J'ai trouvé que son personnage était grandement inspiré de Willy Wonka.

Bref, si vous aimez le fantastique, mais surtout celui de Tim Burton, allez le voir. Si vous trouvez ça trop bébé (en passant, vraiment pas un film pour enfants) ou que vous avez horreur des faces inusités de Johnny Depp, allez plutôt voir les traditionnels Box office américains.

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